1. |
Overture
04:50
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2. |
Solipsister
02:23
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Solipsister spins and my pendula precess a degree
Solipsister scribbles out my palimpsestic destiny
Hey Solipsister, won't you just let me be?
Consumed in your cosmic subsumption, my umbilical bind
Lost among your twinkling constellations of subliminal minds
If I can feel, then I can touch - baby, let me help you unwind
Hey Solipsister, you must sublimate all you got
to project in replica this repressed reverie from which I'm wrought
You know that I've no home if I've no heart
I want to be.
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3. |
Cloud Captor
06:22
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Le ravisseur de nuages – comme si elles pouvaient être ravies
Les capteurs captivent à leur tour,
Rutilent dans mes lentilles, fondent et remuent,
Et je dors obscur mais éclairé.
Eclairé dans l’exposition, la proie placide ;
Je ne demande que l’effigie, la présence la plus passive ;
Je m’égare de mon chemin pour l’étendue de l’horizon ;
L’assentiment se dessine sur l’étalement de l’été.
Le ravisseur de nuages – gardez votre donjon,
Restez ravi à cette festivité,
A cette icone fléché par beffroi,
Amené comme des moutons aux pâturages plus verts.
Et savoir que je ne poursuis que la poursuite elle-même,
Quasiment dissous dans le sopor affectif ;
Et savoir que je ne cherche que le rapport réflexif,
Un étranger aux étrangers pas plus étranges que moi.
Le ravisseur de nuages – comme si elles pouvaient être ravies
Les capteurs captivent à leur tour
Rutilent dans mes lentilles, fondent et remuent,
Et je dors obscur mais éclairé.
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4. |
El Árbol Fantástico
04:13
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Gloria al espíritu de nuestra simét-árbol madre
Se tarda el doble de tiempo
para alcanzar la iluminación con semitonos
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5. |
The Allure
06:06
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Ben, vois qui n’est pas une fillette…
Il ne semble pas si longtemps, tu sais.
Tu as les mêmes yeux, la même risette.
Je pose qu’ils n’avaient nulle part où aller.
Gamine bohème toute organique
Avec les cheveux partout ;
Je vois que tu te gardes toute chic,
Ce même regarde mûr sur ta bouille –
Je parie que tu penses à ta marge de manœuvre.
Tu ne dévie pas avec les mœurs –
Encore aime les bougres pop-punk et porte les chausseurs de merde,
Mais où est la chaleur ?
Tu penses encore que tu n’as rien à perdre ?
Consigne le soliloque, ma chérie ;
J’ai ma licence poétique, comme toi, tu as la tienne,
Mais tout ça semble tellement plaintif…
Je me rends compte que tu étais comme ça d’abord –
Mais bébé tu as dépassé la saveur.
Et maintenant c’arrive enfin,
Je reste sans aucun sens de décence.
Je n’ai pas pris soin de garder ces souvenirs sains
Ou même pensé à vous récemment,
Mais je recule comme ça reflète sur moi.
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Identikit Atlanta, Georgia
Identikit is a progressive sextet that doesn't understand jazz.
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